Gérard Malo, vice-président du Centre culturel Le Chenail
Après une carrière en journalisme de 39 ans, dont 33 ans à Radio-Canada, Gérard Malo s'est engagé résolument dans la défense et la promotion des droits des Franco-ontariens dès le début de sa retraite en 2012. Sans compter que durant l'essentiel de ses années à la radio et la télévision de Radio-Canada, il a fait le choix conscient d'exercer son métier dans les communautés francophones minoritaires, afin de leur offrir un service essentiel d'information de base, néanmoins crédible, voire réputé. De 2014 à 2016, il a été président du conseil d'administration de l'ACFO Windsor-Essex-Chatham-Kent. En 2017, Gérard Malo a été décoré comme Chevalier de «La Pléiade» de l'Ordre de la Francophonie et du Dialogue des Cultures. De 2015 à 2019, il a servi comme représentant du sud-ouest de 2015 à 2019 au conseil d'administration de l'Assemblée de la francophonie de l'Ontario. En 2019 après 22 ans de résidence à Windsor, il s'est installé à Hawkesbury. Il a siégé au conseil d'administration de l'ACFO Prescott-Russell. Sa vision de l'Ontario Français Si les quelques 700000 Franco ontariens et Franco ontariennes d'aujourd'hui ont la force du nombre, ils savent que comme minoritaires ils sont comdamnés à se battre, à résister, à monter aux barricades s'il le faut pour défendre leurs droits dûrement acquis. Désormais, les Canadiens Français « pûre laine » se rendent compte qu'ils doivent se diversifier pour assurer la pérennité de leurs communautés, en accueillant les immigrants francophones à bras ouverts. Ils conviennent que notre beau drapeau vert et blanc représente toutes personnes qui parlent français et qui habitent l'Ontario, peu importe leurs origines. |
Suzanne Hocquard
Suzanne Hocquard est très dévouée à servir sa communauté et aime travailler avec des gens de tous les milieux, du moment qu'elle apporte un changement positif dans la vie de ceux-ci. Ayant grandi dans la région, elle vit ici depuis 50 ans et profite de tout ce que la vie lui apporte. Suzanne Hocquard is very dedicated to serving her community and enjoys working with people from all walks of life, as long as she brings a positive change in their lives. Having grown up in the area, she has lived here for 50 years and enjoys all that life brings her. |
Denise Robitaille
Denise possède une expertise hors pair en relations publiques et communication événementielle ayant cumulé diverses fonctions et responsabilités durant 30 ans au Service des loisirs et de la culture de la Corporation de la ville de Hawkesbury. Gestionnaire et entrepreneure, elle poursuit sa carrière professionnelle au sein de la Bibliothèque publique de Hawkesbury et siège bénévolement sur plusieurs comités. Denise has unparalleled expertise in public relations and event communication having held various positions and responsibilities for 30 years in the Recreation and Culture Department of the Corporation of the Town of Hawkesbury. Manager and entrepreneur, she continued her professional career at the Hawkesbury Public Library and volunteered on several committees. |
Gabriel Garcia
De son côté, l'artiste Gabriel Garcia, d'origine Aztèque, explique que chaque fois qu'il crée, il tente de faire ressortir plusieurs aspects de sa culture et de l'actualiser. Sa sculpture, des visages formés dans des bidons, représente un type d'hôtel dédié à la mort. Selon lui, la mort est quelque chose qui fait très peur, mais on doit s'y connecter, car c'est la seule certitude que nous avons. Il ajoute qu'il faut en être conscient, qu'il faut apprivoiser la mort, la voir d'une autre façon. «Il n'y a pas de mort sans vie et pas de vie sans mort, de souligner Garcia, qui explique que cette dualité est aussi la vision de l'ancienne civilisation aztèque. La vie et la mort ne sont qu'une.» For his part, the artist Gabriel Garcia, of Aztec origin, explains that each time he creates, he tries to bring out several aspects of his culture and update it. His sculpture, faces formed in canisters, represents a type of hotel dedicated to death. According to him, death is something that is very scary, but we have to connect with it, because it is the only certainty we have. He adds that you have to be aware of it, that you have to tame death, see it in another way. "There is no death without life and no life without death," says Garcia, who explains that this duality is also the vision of the ancient Aztec civilization. Life and death are one." |